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in anticipation of your suicide ▬ ANTON.

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Anton Forsberg
Anton Forsberg

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MessageSujet: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMar 7 Sep - 0:20

Citation :

in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  23l4ph

« Comme un mégot sur du velours en cendres au fond d'un cendrier, il faudra bien mourir et me finir entre tes lèvres. »

Anton Forsberg



• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •


On raconte que je suis né avec le cœur gelé. Pareil au monstre caché sous le lit, j’arpente les chambres et les couches. Voyageur désenchanté, il ne se peut que je vomisse ma rancœur sur les beaux visages. Je suis le meurtrier aux sourires carnassiers. L’affreuse bestiole, aux crocs bien rangés. Le visage apathique, rien ne transparaît si ce n‘est un dégout profond pour l‘humanité. Petit prince d’un monde que je ne saisis pas, j’invente les tragédies. Artiste dans l’âme, peut être. J’imagine la douce musique des hurlements. Je suppose la douleur enjôleuse des ongles qui s’enfoncent dans la peau. J’aspire à entendre le battement du sang qui allégrement s’écoule à l'intérieur des veines. Filament bleutés, réseau infiniment compliqué et sans intérêt. Observateur plus qu’acteur, mes désirs sont assouvis aux tréfonds du désespoir délicat émanant des victimes incomprises. Balançant nonchalant, entre la déraison et le néant. Je rêve en les regardant. J’envisage et me languis. Fine lame d’acier glissant sur les gorges dégagées, j’inspire la fragrance des dégénérés splendides. Je suis une sorte d’abstraction, une vision illusoire d’un peintre sans talent. Je me sens défaillir, aux bords de la frénésie meurtrière. Une étrange impression de vide s'est emparée de mon être. Détraqué, je le sais. On me qualifie pourtant de névrosé. J’ai l’étrange impression que ma santé mentale est sur le point de basculer. Bang bang, c'est le canon du revolver posé sur ma tempe, qui expulse sa prune. La main invisible joue à la roulette russe. J'aimerai lui dire à quel point ses actes sont vains. Crise d’hystérie, le silence affligeant demeure inlassablement présent. Rien ne s’extirpe de ma gorge, vulgaire pantin désarticulé. L’existence m’écrase, je souffle de dépit. Crevé avant l’heure, perdant à peine entré dans la partie. Je suis l’accident sur la route déserte, le noyé qui se laisse emporter par les flots. Poison fatal, je suis la désillusion. L'homme sans âge et sans nom, dont la cervelle n'est plus qu'une marmelade dense de venin. Aucuns gouts, ou celui de la pourriture. Qu’on me bouffe à la sauce aigre douce pour faire passer l’horrible parfum de ma chair putréfiée.


chapitre premier
VOUS ÊTES CLASSE DANS LA CATÉGORIE HUMAIN ?
— NÉGATIF, JE SUIS UNE MITE EN PULL-OVER.


La main sur sa cuisse, le sage enfant lui susurre aux creux de l’oreille les pires ravissements. Il est un serpent diabolique, celui là même tentant Eve dans le jardin superbe. Il n’attend que le bon moment pour attaquer sa fragile et indécise victime. Grande et mince blondinette, asperge molle et dégoulinante de promesses et d‘envies. Crétine aveuglée mais splendide, que ses yeux d’un bleu intense dardent impatients, comme une flèche empoisonnée foncerait dans la mollesse d’une poitrine généreuse. Son regard laisse l’esprit s’emporter parmi de faucheuse rêveries, il vous retourne la logique et vous détruit pendant votre semi-coma. Il est un monstre moderne, un gamin élevé par des femmes. Les femmes, créatures infâmes, les harpies virevoltant dans la pénombre et fondant sur le gibier jeune. Le môme s’en est découvert une aversion on ne peut plus puissante. Haïssant ces porteuses de vies du profond de son être. Elles ne sont que des araignées gigantesques qui vous capturent sur leur toile et ne vous en laisserez partir qu’une fois mort, sucé jusqu’à la moelle. La Marilyn accrochée à ses bras n’a à sa connaissance aucun nom, qu’une putain à ajouter, s’exaltant sous une lune mystifiée aux rayons argentés. Anton s’appelle t’il. Il est beau comme une plaie ouverte, suintante ou purulente. Il est beau comme un coucher de soleil, sur la surface d’une étendue de pétrole. Miroir de l’âme humaine, renvoyant les effrayants travers. Perdu peut être, il cherche quelque chose sans jamais la trouver. Anton, le criminel désiré. Assit sur un banc, appuyé contre un mur blanc aux traces jaunâtres.

La tête claque la paroi poisseuse, il est étourdi. Il s’assoupi et plonge pour mille et un tours aux merveilles. La cendrillon sans chaussons de verres le suit telle une chienne en chaleur, déposant sur sa nuque ardente un baiser collant. Trop de rouge à lèvres, un feu d’artifice raté pourrait devenir une manière de la qualifier. La pluie fine ne cesse sa valse furibonde, martelant les vitres crasseuses, aspergeant les colonnes de bois supportant le bâtiment en ruines leur faisant office d‘abri provisoire. Le ciel, une toile de maître à peine achevée. Un voile de soie, une robe de soirée d’un grand couturier. Le vent gifle les figures, force à rester en place. Esclave de ses caprices, tornade intrépide capturant de ses cercles infernaux les cartons humides et papiers froissés. Publicités pour le dernier shampoing antipelliculaire, ou les mégots écrasés sur les rebords de trottoirs. Joli spectacle du chaos retrouvé, une musique enchainant les notes avec fureur, claquant les sons, pareille à une cravache. Anton soudain se lève, droit comme un piquet dans ses mocassins de cuir éraflé. Une montée d’adrénaline électrifiant l’entièreté de son corps frêle. Les membres tremblent, la confusion est évidente. La blondasse bascule immédiatement sur la gauche et frotte son visage vulgairement maquillé contre le banc vert foncé. Une overdose l’a achevé, la seringue encore coincée dans son bras faisant un imperceptible bond suite au choc de sa dépouille raide. Elle voulait être avec lui, elle voulait qu’il l’embrasse et l’aime. La pauvre môme a dû se contenter d’une dernière danse, une danse avec l’une des progénitures du diable à n’en pas douter. Tournant son attention vers celle qu’il a manipulée, qu’il a amenée et trompée par des fourberies dont seul lui garde le secret. Il marmonne dans ses dents, accusé à la barre. Entre terreur et fascination, des larmes coulent sur ses joues à la couleur laiteuse. Les yeux, vitreux dont on aperçoit des veines ayant éclatées. Elle est une sirène qu’on aurait sorti de l’eau. Et faute d’avoir reçu en abondance son essence de vie, elle se serait doucettement éteinte, enlacée à son narcisse. S’accroupissant, les genoux du morveux s’attaquent au béton inondé. Caressant la joue de la poupée de chiffon, du bout de ses doigts frémissants. L'héroïne, mortelle amour dont il découvre les ravages ou le chef d'oeuvre.

chapitre second
MIEUX VAUT ÊTRE INDIFFÈRENT ET DIGNE, QUE MALHEUREUX ET PATHÉTIQUE.
Ouvrir les yeux et regarder le ciel comme on dévisage un ennemi indigne, par la fenêtre. Fidèle et terrible adversaire prêt à m’engloutir de son entière grandeur, il s’écarte devant mes mains. Je m’exerce à les dresser vers son trône extraordinaire. La lumière orangée - déclin d’une morne soirée, accroche les formes dans l’espace et fixe les images sur ma rétine. A force de cligner des paupières, j’en viens à me demander s’il arrive que des messages interdits s’introduisent selon ce sordide manège. Des mots ou des appelles à l’aide. Je délire, et en suis pleinement conscient. Formes mouvantes, tâches d’encre verte et brune. Fabuleux mélange, et dangereuses esquisses. Les oiseaux passent au dessus de mon crâne en feu, un léger sourire étire mes lèvres gercées. Du sang perle sur la pellicule de chair après qu‘elle se soit déchirée, ma langue s’y égare et lèche l‘hémoglobine encore tiède. Je ne suis pas encore décédé. Point négatif ou positif, je dirais que ça n‘a plus grande importance. Allongé de tout mon long à sur un lit pouilleux, seul mon visage d’enfant corrompu s’extirpe des draps aux trous de clopes. Ma peau est abimée, rougie par de trop longues heures passées à me gratter, tant mon corps tout entier me démange. C'est incompréhensible, je n'ai pourtant rien d'inquiétant. Trop de dopes diverses et variés inondent mes veines. Je flotte avec l’étrange impression de n’être qu’un sac poubelle qu’on aurait balancé. Echoué au milieu de nulle part, salissant les rivages puisqu’à moitié éventré. J’ai mal, une intense amertume traversant mon ventre et mes côtés. Une grimace s’incruste sur ma figure, je tords mes lèvres en un vilain rictus, je fronce les sourcils et me racle la gorge. Le gout dans ma bouche s’apparente à un fond d’égouts pâteux et écœurant à m’en donner des nausées. Les convulsions s’en suivent aussitôt, et me font couler un peu plus au milieu de mon étang de tissu. Reniflant l’air hivernal, il s’extirpe de ma trachée un râle que je n’arrive pas à refouler. Ma vision est anormalement floue, le paysage est un ensemble de distorsions et de masses ingrates. Les odeurs me sont inconnues, elles s’engouffrent violemment dedans mes narines et remplissent mes poumons d‘une sensation désagréable, acide. Les couleurs perdent de leur intensité alentour et je perds définitivement le fil de mon récit, c‘est un fait avéré.

J’ai un trou de mémoire, je n’ai aucun souvenir des dernières heures de ma réalité absurde. Une purée conséquente, qu’on aurait mise en guise de cervelle. Ma boite crânienne n’étant plus qu’une énorme marmite bourrée de vermicelles et d’une bouillie indigeste. Bonne pour les cochons, encore que, je ne serais pas surpris qu’eux aussi n’en veulent pas. Ordure de dernières zones, la vengeance m’a frappé sans que je ne me rende compte. C’est à peine si j’ai la certitude de me connaître. Je suis un inconnu qui mérite d’éclater tel un œuf trop cuit. Je m’appelle Anton Forsberg. J’ai vingt quatre ans, et suis un petit dealer de merde. Ma vie est une enclume, mes projets d'avenir sont inexistants. Je suis un cadavre que l'on maintien farouchement en vie. Et je ne sais pas pourquoi. Je ne veux pas savoir pourquoi. Je veux juste les utiliser. Je veux devenir l’horreur et l’absence totale d’émotions. Spécimen en mutation, si il survit à l’intervention du destin. Qu’on danse sur ma tombe, que l’on s’étreigne et qu’on combatte. Au gré des connections, je suis assailli de questions. Charogne que la meute dévore, fausse rébellion d’un menteur délaissé. Figé dans un théâtre illogique. Je traine sous l’orage, je suis le naufragé qui te brutalises dans l’excès. Suicidaire que l’on a assassiné, je suis emporté vers l’abime ; une immortelle jouissance.

chapitre trois
JE FUME , JE FINIS PAR CROIRE QUE COMME CETTE CIGARETTE NOIRE JE TE NUIS MA BEAUTÉ.
Tout doit s’éteindre, avant qu’il ne s’embrase. Torche humaine, hurlant au désespoir. Enfermé dans une cage trop étroite, il pressent les ongles crochus de la mort serrer son petit cou fragile. Misérable insecte que l’on écrase avec dégout. Il est répugnant tant il est beau. Il est agaçant puisque tellement gracieux. On voudrait le voir épinglé au mur, sous un cadre de verre. Juste pour avoir la chance de le jauger pendant des heures entières. Oui, sans devoir croiser ses yeux à l’éclat trouble et mélancolique ; Sans avoir à essuyer ce sourire en coin, désarmant et malin.

Ombres confondues, les spectres volent et crèvent, ils soufflent les lumières de la ville. Serrant les dents, le bellâtre sursaute sur sa chaise. Le sursaut devient tremblements, et les tremblements se métamorphoses en spasmes. Anton est en manque d'héroïne et d'elle. De tout.

Elle le regarde, vipère égarée. Une cigarette coincée entre ses lèvres charnues, elle expire des bouffées denses. La fumée se dissipe devant ses iris dilatées. L’excitation et le pouvoir l’enivrent. Il est sa victime autant qu’elle demeure sa chose. Manège rude et imprudent, qu’il ne cesserait pour rien au monde. Depuis des jours, ce jeu a commencé. Ils se jugent et se mordent. Ils se haïssent d’une farouche intensité, pour une stupide affirmation. Il est perdu sans elle, quatre de ses doigts pianotent à intervalle régulier contre le bois de la table. Encastré sur la chaise qui couine, il se balance d'avant en arrière pareil à un enfant. La nymphe est en face, elle le lorgne telle la chouette serait prête à fondre sur le mulot téméraire. Baissant finalement ses deux billes pâles sur le parquet. Ses entrailles se tordent et une bille infecte monte sur la paroi de sa trachée. Esquissant une moue de gosse frustré, sa main d’un geste délicat tire des mèches de cheveux. Reprendre le dessus, feindre l'indifférence ou chuter et venir s'écraser contre les rochers en bas de la falaise. Le choix ne lui appartient déjà plus. Quelle odieuse naïade, il ne peut que désirer la mettre à terre et détruire le moindre fragment de son être. Saloperie qui s’est invitée dans son existence et qu’on ne peut lui enlever. Son cœur gangréneux se disloque au fond de sa poitrine, il tombe en lambeaux éparses et crame tout ce qu’il touche. Ca le rend fou. Fou de jalousie, fou d’elle. Fou de tout, il balaye de l’avant bras les objets hétéroclites disposés devant lui. En rage, les poings se serrent mais le visage reste ce masque de porcelaine ou de glace, aux prunelles crépitant par le givre. Son prénom raisonne à l'intérieur de son crâne, tambour qu’une gamine malveillante frappe frénétiquement, d’un rythme sans mélodie. Coinçant de ses deux mains sa tête qui glapie et mugie à l’en faire vomir. Anton se courbe, sur le siège de plastique solide. Et finit par geindre en plantant sa boite crânienne entre ses genoux. Isolé dans sa démence, seul face à ses angoisses. Les mots ne lui viennent pas, illettré ou muet. Sourd certainement, nul n’a d’importance. C’est trop tard. Le voilà immergé sous les océans d’acides et de rancœurs. Il perçoit ses bras, l'enlacer. Aussitôt il se débat, fougueux épervier qui file comme un boulet de canon dans la chambre voisine, sans un mot si ce n’est la languissante complainte qu’expulse compulsivement son poitrail. De la fureur plus que du chagrin. Il retrouve sa muse sur le rebord de la table de chevet. Dose scintillante qui l'appelle et lui chante ses louanges, l'héroïne est la seule à ne pas le tromper. Avec elle, il le sait, son décès est assuré.
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Bon beh, moi c'est BABINE, majeure et vaccinée. Blasée ces derniers temps et sans inspirations aucunes. Ahah. Je ne suis pas spécialement une adepte de ce type de contexte, mais il me faut du changement. Une demoiselle m'a trainé jusqu'ici, et j'éspère pouvoir m'y plaire sur une durée raisonnable. Que dire de plus ? Ah, si ! Ce contexte me fait penser au film qui va sortir prénommé "twelve". Question avatar, j'ai longuement ramé et finalement Mathias Lauridsen est apparu tel Moïse ouvrant la mer. #PAN# J'ai soudain une folle envie de le jouer. D'ordinaire j'aime trouver des tronches qu'on ne voient pratiquement pas, mais là, retour aux sources C'est inexplicable. Enfin si, c'est explicable dans la limite où Mathias est un dieu et reste un dieu malgré le temps qui passe. Cependant c'est un tout autre débat. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  963584


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Dernière édition par Anton Forsberg le Jeu 9 Sep - 17:20, édité 67 fois
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Hlodowig V. Söderholm
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMar 7 Sep - 0:25

BIENVENUE A STOCKHOLM in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  709962
merci de ton inscription.
(tu me diras si tu veux que j'enlève mon post)
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I. Magnhild Arnberg
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMar 7 Sep - 7:11

LAURIIIIIIIIIIISDEN OMG QU'IL EST BEAU in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  750677 in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  845737 in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  814844 in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  243664 in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  430732 in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  19488
Bon un peu de sérieux... Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥️
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMer 8 Sep - 19:24

    Twelve c'est sur la jeunesse dorée, là pas vraiment in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  231721
    Mathias, ce Dieu in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  814844
    bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you
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Montaine Ada Giacconi
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMer 8 Sep - 19:31

Magnifique début, bienvenue ici Anton in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  961458 j'veux un lien avec Anton !! in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  1490
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Anton Forsberg
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyMer 8 Sep - 19:33

Merci tout le monde. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  352537

Pour Twelve oué, mais j'sais pas. Dès que j'ai lu le contexte, ça m'y a fait penser. scratch
Et oui, lauridsen in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  694872 . Il est juste parfait, un dieu, que dis-je, un fantaaaasme tombé sur terre. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  955263 . #PAN# Bref, merci. Bon la fiche avance tout doucement. J'sais pas pourquoi, mais en ce moment, j'ai un mal fou à écrire. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  993521

EDIT : Et oh c'est gentil Montaine. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  954822 J'avais peur que ce soit plutôt bien merdique. Et pour le lien, avec plaisir in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  233179
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Konstantinos O. Aslvïk
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptyVen 10 Sep - 19:44

ce début de fiche I love you in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  72457
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Phoenix Ezekiel Backstedt
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  EmptySam 11 Sep - 10:57

Bienvenue in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  114515
MATHIAS in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  961458
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MessageSujet: Re: in anticipation of your suicide ▬ ANTON. in anticipation of your suicide ▬ ANTON.  Empty

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