(c) tumblr.

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Cornélius prénom nom(s) ( au choix )

« citation, paroles de chanson, proverbe en rapport avec votre scénario »

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carte d'identité
24 ans
Helsingborg en Suède
En couple
GROUPE ( au choix )

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l'histoire sans fin

Indiquez l'histoire ou les points importants de votre scénario (:

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et toi et moi ?

(c) katie cassidy fans.


foolish pleasure

« Je suis vraiment raide dingue de toi Gudny. Que tu le veuilles ou non, toi et moi c'est pour la vie. » C'était un jour que j'attendais depuis des années. Depuis que je connaissais Cornélius du moins. J'avais toujours étais envoutée par son talent, par sa présence. Et même si nos relations étaient parfois très tendues, nous avions toujours l'habitude de nous réconcilier au lit. Oui, vous avez compris que notre relation purement amicale était entretenue depuis des années par des relations sexuelles. Nous n'étions jamais vraiment sortis ensemble, mais lorsque nous n'avions pas de petits amis fixes et étant très accroc au sexe, nous ne perdions jamais un instant pour nous retrouver tout les deux dans le même lit. En plus de cela, nous avons tous les deux trouver que nos meilleurs moments d'entente restaient dans le lit après et pendant avoir fait l'amour; les yeux dans les yeux, il voyait bien que pour moi c'était pareil. « Mais pourquoi me dire ça maintenant? Tu t'es rendu compte soudainement que j'étais une femme parfaite, que j'étais une femme faite pour toi surtout, car rare sont les femmes dignes de pouvoir supporter ta présence pendant plus d'une heure. » Il eut un sourire, un sourire qui me fit sourire à mon tour; il était vraiment à croquer à ce moment là. Je n'aurais jamais cru un jour qu'il me dirait cela, lui et sa fierté de merde. Je pensais plus que moi j'aurais le premier pas, mais j'ai aussi une sale fierté de merde alors j'ai vraiment été étonnée qu'il me le dise en premier. « Je me suis juste rendu compte que pendant cette semaine loin de toi j'étais comme perdu et abandonné. Tu donnes un sens à ma vie, et tu sais que c'est pas mon genre de me ridiculiser de dire des trucs à l'eau de rose comme ça, ont se croirait vraiment dans un putain de film Hollywoodien mais il fallait juste que tu le sach... » Non mais comment rester là sans rien faire alors que Monsieur était entrain de m'ouvrir son coeur. Oui nous avions l'air d'être dans un film romantique à la Pretty Woman mais merde quoi, je m'en foutais à ce moment là... il n'y avait que lui et ses paroles à l'eau de rose qui comptait. Il n'eut même pas le temps de terminer sa phrase que mes lèvres avaient déjà touchées les siennes. Il ne manquait plus qu'un bon ralentit pour en faire le film de l'année je vous assure. C'est à partir de ce moment que tout commença. Les bons comme les mauvais moments, et je vous dis que les bons étaient très... rares.

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foolish pleasure

Cela faisait maintenant deux ans que nous étions en couple. Je l'aimais énormément, ça oui, plus que tout même; Mais ses agissements envers moi m'énervais de plus en plus. Moi qui d'habitude lui aurait fichue ma main dans la figure, là je ne disais rien trop déçue qu'il est raté notre diner la veille au soir. Et ce n'était pas le premier qu'il ratait je peux vous le dire. Il arriva alors vers moi un sourire au lèvres, comme si il était sur qu'en me faisant ce sourire ravageur j'allais le pardonner ( ). « Bébé, je sais que tu vas me détester, mais hier soir, j'ai vraiment pas fais attention à l'heure. Tu sais je faisais des essais à la batterie chez un pote, nous avons discutés et en plus de ça j'avais oublié mon portable... » « C'est sur... comme par hasard. Et ton pote, il n'aurait pas des cheveux longs, du maquillage et des talons de catins? » « C'est que tu serais jalouse... j'aime ça, ça prouve que tu m'aimes. » Il ne me fallut pas deux secondes pour lui flanquer la gifle du siècle. Enervée comme je ne l'avais jamais été je lui dis alors. « Et en plus tu te fous de ma gueule. Non mais t'as pas honte? Jures moi sur ma vie que tu étais chez un pote hier soir... parce que c'est bizarre que Hadrian n'était pas avec toi, vous qui êtes inséparables. » Toujours entrain de tenir sa joue rouge tomate, il me dit sur un ton assez... vexé. « Tu es complètement folle. Je te jures sur ta vie que jamais je n'ai eu l'idée d'aller voir une autre fille. T'es mon bébé merde. » Et il croyait vraiment que j'allais croire à ses conneries? Mais passons... j'allais bientôt le prendre à son petit jeu de petit minable. Je l'aimais, mais je n'étais pas absolument aveugle au point de ne pas voir qu'il couchait de temps à autre avec une autre femme. Un sourire aux lèvres, non pas sincère, je m'approchais vers lui, en mettant ma main sur sa joue, d'ailleurs j'avais vraiment envie de lui en remettre une par dessus l'autre, histoire qu'il souffre comme il me faisait souffrir. « Haan, moi et mes putains de crises de jalousie. Désolée mon ange, je suis carrément folle. Mais tu sais que la jalousie est une preuve d'amour non? » Il me regarda l'air soulagé et me dit à son tour avec un sourire qui en disait long « ... Ravi que tu le prennes comme ça. Mais saches que c'est aussi un vilain défaut d'être jalouse. » S'il répétait cette phrase encore une fois, c'est le bol de café au lait qu'il allait se prendre sur le crâne. Je me contentais alors de sourire... Il n'y avait que ça à faire de toute manière.

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(c) robert pattinson icon's journal.

foolish pleasure

« BLACK UNDER GRIP ? » lançait alors Hadrian, celui que je définissais comme mon meilleur ami et surtout comme l'homme parfait. Celui qui me comprenait et aussi cela qui ne me jugeais jamais. C'était vraiment un sacré lapinou avec moi. « Ouais. Ouais ! Ça le fait grave. Et maintenant, veuillez accueillir, les black under grip ! » Ca c'était Cornélius qui avait répondu. ♫ il se voyait déjà en haut de l'affiche. Et d'ailleurs je trouvais qu'il en faisait vraiment trop. Bon d'accord c'était mon petit ami, mais lorsque j'avais quelque chose à lui dire par rapport au groupe, je n'hésitais pas. Ses manières de faire et ses réactions m'étaient souvent insupportables. Il fallait toujours que je lui remette les pendules à l'heure. Dès fois c'était une belle victoire, il clouait son bec et calmait ses ardeurs, et quelques fois je me faisais remballer et s'était moi qui calmait les miennes. « Bon les gars, c'est sympa d'avoir trouvé un nom, mais maintenant il faut se mettre au boulot. Notre maquette doit être prête pour dans un mois à peine. » Toujours là pour les remettre dans le droit chemin à ces deux zozoyes. Mais aujourd'hui, Monsieur croyait vraiment qu'en claquant des doigts tout allait arriver sur un plateau d'argent, il me dit alors sous le ton de l'ironie « Va prendre ta basse et arrête de nous rabâcher ça ! » mais moi cela ne me faisait pas rire. Soit, je m'étais assise sur ma chaise, ma basse en main et je fixais mon petit ami avec un regard tueur. Hadrian, celui que j'appelais " mon sauveur " prit la parole « Sérieusement Corni, la p'tite a raison. Faut vraiment qu'on s'y mette si on veut être dans les temps. » Nous étions dans le garage de Corni, il l'avait installé tout le matériel en notre compagnie. Nous formions un groupe d'enfer tout les trois. Entre le meilleur ami du monde, et le pire petit ami du monde j'étais pourrie gâtée moi. J'ai eu cette idée de fonder ce groupe avec eux lorsque j'ai réalisé à quel point nous avions tout les trois les mêmes goûts musicaux. Nous adorions nous faire des petits bœufs le soir avant d'aller dormir. Et puis un jour je me suis dis, " merde, nous avons un talent d'enfer, nous nous entendons vachement bien, alors pourquoi ne pas exploiter tout cela!". J'en ai parlé à mes deux acolytes, et ils ont acceptés de suite. J'étais certaine que nous allions une aventure merveilleuse désastreuse.

« Putain ! Mais qu'est-ce que tu fous avec elle ? Bouges-toi merde ! Et surtout, arrêtes de te plaindre. Allez, fais-moi le plaisir d'aller la voir. » essayais-je de lui faire comprendre. Il ne fallait pas qu'il reste cloitré chez lui à attendre que le temps passe. Non, il fallait qu'il bouge, qu'il agisse et qu'il fasse tout pour la récupérer. Il l'aimait, il me l'avait dit plus d'une fois, et j'étais donc dans l'obligation de faire tout pour qu'il ne la laisse pas partir. « J'pourrais jamais. J'te jure, j'pourrais pas. J'ai trop honte de lui avoir fait ça. Vas-y à ma place Hadriàn. Fais-le pour moi, s'il te plait. » Trop honte de l'avoir trompée. Je connaissais bien ça moi aussi. Plusieurs fois par semaine je couchais avec d'autres filles que ma copine officielle. Je ne savais pas très bien si elle était au courant, mais je m'en fichais. Je voulais être libre. Entre Cornelius et Gudny, c'était différent, ils s'aimaient vraiment et c'était du sérieux. Pour lui, cette petite aventure d'un soir était une grosse connerie et s'il avait pu s'empêcher de le faire, il l'aurait fait. « Bon, bon, c'est d'accord. J'irais la voir. Mais un jour ou l'autre il faudra bien que t'assume. Et surtout, il faudra que tu t'expliques. J'peux pas tout faire à ta place Corni'. » Ça c'était sur. Je voulais bien aller lui parler car après tout, les deux étaient mes meilleurs amis et le fait qu'ils soient en couple me faisait plaisir, mais je ne pouvais en aucun cas régler tous leurs problèmes. J'allais donc vers la porte et sortis dans même entendre la réponse de Cornelius. « Ouais, ouais, j'te le promets. J'lui parlerais. »
C'est ce qu'ils s'étaient dit pendant mon absence aux toilettes ( oui oui ça arrive même aux filles parfaites comme moi de faire la pause pipi/caca ). En tout cas, j'avais raison. Je ne m'étais pas trompé sur toute la ligne. Il n'était pas chez son pote entrain de tester sa batterie. Quel pauvre type. De toute manière, j'étais sur et certaine qu'il n'allait rien m'avouer, trop lâche et trop peureux. Il savait quand même que j'avais plus d'un tour dans mon sac et que s'il jouait trop avec moi, j'aurais été capable de lui mettre la tête dans les toilettes et de tirer la chasse à ce moment là. Rien ne m'arrêtais lorsque j'étais sur les nerfs, et heureusement pour lui, ce jour là j'étais plutôt de bonne humeur. Et puis j'avoue aussi que je m'en doutais ...

foolish pleasure

« Écoutes Gudny, si Cornelius a agit comme ça, c'est parce qu'il était sous l'emprise de l'alcool et de la drogue. Il savait pas vraiment ce qu'il faisait, tu sais. Depuis, il sort même plus de chez lui tellement il a honte. Il t'aime, il veut que tu le saches. Mais tu le connais. Dès que quelque chose de bien arrive dans sa vie, il est obligé de tout détruire. Il n'y peut rien, c'est comme ça. Donne-lui une seconde chance. » Non mais c'est lui qui m'avait trompé ou c'était son meilleur ami ? Non parce que vu comment il me parlait, ont aurait dit que toute la misère du monde lui était tombée dessus. Les yeux brillants, me rendant compte que je n'avais pas tord, et surtout qu'il avait juré sur ma tête qu'il était bien chez un pote pour tester sa batterie, je lui dis. « Tu sais quoi Hadriàn ? J'en ai rien à foutre de ses excuses. Quand on a même pas le courage de venir s'expliquer en face, c'est qu'on est lâche. J'en ai marre de lui et de ses conneries. Je vaux bien mieux que ça, je le sais. Alors laisse tomber. Le jour où il comprendra qu'il a fait la plus grosse erreur de sa vie en me trompant avec une des ces pouffiasses, il s'en mordra les doigts et ça sera tan pis pour lui. » J'avais envie d'aller le voir, de tout casser. Il m'avait détruite, alors pourquoi ne pas faire de même? J'aurais donné n'importe quoi pour me tromper, mais non, j'avais eu raison et je m'en mordais les doigts. Hadrian me prit alors par le bras et m'emmena sur mon lit. Une fois assise, mon regard plongé dans le sien, j'avais envie de me venger en quelque sorte... je savais que d'un côté je plaisais à Hadrian. Il était si gentil, si attentionné avec moi, c'était un homme comme lui que j'avais besoin. « Il le sait déjà tout ça. Il a conscience d'avoir fait une énorme erreur. S'il pouvait...» Il ne devait pas en dire plus. Je mis ma main dans la sienne et me rapprocha dangereusement de son visage, de son corps... « Arrêtes Hadriàn. Arrêtes de parler à sa place. Tais-toi et embrasse-moi. C'est tout ce que je veux. »Je ne mis pas plus d'une seconde pour l'embrasser à pleine bouche. Le toucher et le sentir près de moi était vraiment réconfortant. Il était comme un bouclier. Plus rien n'avait d'importance lorsque j'étais dans ses bras. Il n'avait pas le choix... ce soir, il était entièrement sous mon emprise. Une trentaine de secondes ont suffit pour qu'il daigne enfin me repousser, se rendant compte que notre acte n'était pas bien. « Gudny,...stop....arrêtes. On ne peut pas faire ça. Je ne peux pas. C'est mon meilleur ami... » Il a essayé de me repoussé, mais en vain... il résistait, et mon regard ne voulait pas changer de direction, il était comme envouté par mon visage, mon odeur... et c'était pareil pour moi. « On s'en fou. Je sais que je te plais. Alors fais-moi l'amour et arrêtons de parler. » dis je une dernière fois en le plaquant contre mon matelas.